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Madeleine 2021
Pas de fête populaire dans les rues de la ville mais des cartels de grande qualité !
2020 était une année blanche, 2021 sera une année à moitié…Nous avons voulu y croire jusqu'au bout, mais la situation sanitaire ne s'améliore pas aussi vite qu'il était possible de l'e spérer. Les premiers éléments dévoilés pour le déconfinement montrent que de nombreuses restrictions et incertitudes vont perdurer pendant plusieurs mois encore. Il faut donc se rendre à l'évidence… Cette année encore, il ne sera pas possible d'organiser les Fêtes de la Madeleine, du moins la fête populaire.
S'il n'y a pas de feria dans les rues de la ville, la capitale des Landes espère tout de même pouvoir organiser des corridas au sein des arènes du Plumaçon. Si les jauges accordées le permettent, 4 corridas et une novillada réparties du 23 au 25 juillet devraient être organisées, dont une affiche exceptionnelle, le seul contre 6 (encerrona) d'Antonio Ferrera devant les toros d'Adolfo Martín prévu le samedi à 18h ! Cochez d'ores et déjà la case dans votre agenda !
La commission taurine accompagnée de ses 2 mandataires, Jean-Baptiste Jalabert et Alain Lartigue, œuvrent depuis plusieurs mois pour proposer un programme en adéquation avec les attentes et les exigences des aficionados. La déception suscitée par cette annonce de l'annulation de la fête populaire fait place au grand espoir généré par le dévoilement de beaux cartels et de cette corrida exceptionnelle !
Pour pouvoir espérer revenir à une Madeleine totale en 2022, il faudra donc encore patienter mais surtout être raisonnable et ne pas descendre dans les rues en 2021... mais venir dans nos arènes !
Cartels Feria de la Madeleine 2021
Tous les reportages vidéos de la Madeleine 2021 sur la chaine Youtube Mont de Marsan...
Cartels Feria de la Madeleine 2021
Le mot de Christophe Andiné, président de la commission
taurine
"Nous avons un véritable équilibre au niveau des ganaderias avec une diversité d'encastes (Domecq, Núñez, Saltillo, Aldeanueva). Il existe une cohérence dans les confrontations toreros/toros et la sélection des toreros colle bien avec l'évolution taurine de ces 3 dernières temporadas.
Le premier jour de spectacle sera marqué par les 10 ans d'alternative de Thomas Dufau, notre torero local. Le samedi se fera à la sauce "madrilène" avec les derniers grands triomphateurs des plus importantes arènes du monde : Las Ventas de Madrid. Sans oublier les toros d'Alcurrucén qui ont marqué à de nombreuses reprises les carrières de ceux-ci !
À 18h, les aficionados assisteront à une affiche exceptionnelle, rare et inédite pour nos arènes de Mont de Marsan, place forte du milieu taurin, le seul contre 6 d'Antonio Ferrera devant les toros d'Adolfo Martín. Enfin, les corridas de 2021 seront clôturés avec la présentation très attendue au Plumaçon des Pedraza de Yeltes, la ganaderia aux multiples trophées de ces dernières temporadas françaises."
"Nous avons un véritable équilibre au niveau des ganaderias avec une diversité d'encastes (Domecq, Núñez, Saltillo, Aldeanueva). Il existe une cohérence dans les confrontations toreros/toros et la sélection des toreros colle bien avec l'évolution taurine de ces 3 dernières temporadas.
Le premier jour de spectacle sera marqué par les 10 ans d'alternative de Thomas Dufau, notre torero local. Le samedi se fera à la sauce "madrilène" avec les derniers grands triomphateurs des plus importantes arènes du monde : Las Ventas de Madrid. Sans oublier les toros d'Alcurrucén qui ont marqué à de nombreuses reprises les carrières de ceux-ci !
À 18h, les aficionados assisteront à une affiche exceptionnelle, rare et inédite pour nos arènes de Mont de Marsan, place forte du milieu taurin, le seul contre 6 d'Antonio Ferrera devant les toros d'Adolfo Martín. Enfin, les corridas de 2021 seront clôturés avec la présentation très attendue au Plumaçon des Pedraza de Yeltes, la ganaderia aux multiples trophées de ces dernières temporadas françaises."
Les spectacles taurins
Dépliant des cartels de la Madeleine 2021 (pdf à télécharger)
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6 Toros de JandillaOn ne présente plus cette ganaderia qui dans les mains de Borja Domecq est devenue une légende. Les premiers toros sous le fer de Jandilla fouleront les ruedos en 1982 et depuis ne cesseront de contribuer aux carrières exceptionnelles des plus grands toreros de ces 40 dernières années. Ces Domecq « bien roulés » de robes noires le plus souvent traversent un très bon moment avec notamment d'e xcellents passages dans les ferias les plus importantes d'E spagne. Bravoure et noblesse parfois exigeante caractérisent les pupilles de Borja Domecq. |
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Les Toros de Jandilla au campo |
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Les toreros
Enrique PonceNé le 08/12/1971 à Chiva (Espagne)Début avec picadores : 09/03/1988 à Castellon de la Plana Alternative : Valencia le 16/03/1990 Parrain : Joselito Témoin : Miguel Baez Litri
Il entame sa 32 e temporada de matadors de toros et effectuera son 27 e paseo dans nos arènes si l'on y rajoute celui de sa présentation comme novillero le 21 juillet 1989. La présence de ce torero d'époque dans le cartel d'ouverture, nous permet d'espérer revivre des moments d'exception comme sa faena inoubliable face au toro de Samuel Flores en 2009 ou plus récemment, la tarde historique et envoûtante lors du mano a mano avec le regretté Ivan Fandino. Enrique ne laisse jamais passer un bon toro, tout est fait pour que ce rendez-vous face aux Jandilla nous permette de profiter de son toreo de classe. Daniel LuqueNé le 21/11/1989 à Gerena (Espagne)Début avec picadores : 19/03/2005 à Cortes de la Frontera Alternative : Nîmes 24/05/2007 Parrain : El Juli témoin : José Tomas Après un début de carrière qui le prédisposait à rejoindre le wagon des figuras, Daniel Luque s'est au fil des temporadas retrouvé dans l'anonymat. Mais l'aficion française sensible aux qualités réelles de cet excellent torero lui a permis depuis 2018 de rebondir et prendre un nouveau départ. Les succès probants tel que le solo de Bayonne, les prestations de qualité à Vic, Dax ou Mont de Marsan face à un toro de la Quinta à la dernière Madeleine, lui ont permis de se voir décerner le Prix de triomphateur de la temporada 2019 par les critiques taurins du Sud-Ouest ainsi que le Prix Popelin récompensant le meilleur lidiador de la saison française. De fait, les portes des grandes férias espagnoles s'ouvrent également. C'est un torero en pleine confiance, déterminé à triompher et qui a désormais atteint la maturité et le niveau présagé que nous aurons plaisir à retrouver au Plumaçon. Thomas DufauNé le 03/01/1991 à Mont de Marsan (France)Début avec picadores : 13/04/2009 à Mugron Alternative : Mont de Marsan le 15/07/2011 Parrain : El Juli Témoin : Daniel Luque Depuis son alternative dans nos arènes du Plumaçon, Thomas n'a jamais démérité malgré la pression de toréer à la maison et d'accompagner chaque fois les plus grandes figuras. Ce sera encore le cas cette année pour son 11 e paseo dans nos arènes en tant que matador de toros. Le Montois est déjà sorti deux fois « a hombros » des arènes du Plumaçon lors des ferias 2013 et 2017. Victime en 2019 d'une bactérie contractée au Pérou, il fit l'effort de se présenter pour la corrida d'ouverture de cette dernière Madeleine, mais son état de santé et un tirage au sort peu favorable lui ôtèrent toute possibilité de briller et de nous faire apprécier son indéniable progression. Gageons que le lot de Jandilla lui offrira, pour ses 10 ans d'alternative, les moyens de dérouler son toreo classique et non dénué d'élégance pour ce défi qu'il mettra à cœur de remporter. |
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6 Toros de AlcurrucénDe nombreux grands toreros doivent à cette ganaderia les plus grands triomphes de leur carrière (Manzanares père, Sébastien Castella, Alejandro Talavante, Diego Urdiales…). Madrid et Bilbao sont les deux plazas qui ont consacré au plus haut niveau la famille Lozano en tant que ganaderos. Depuis 1982, cette grande dynastie taurine mène sous le fer Alcurrucén du bétail d'origine Carlos Núñez bien connu pour ses magnifiques toros fin de corpulence, très bien armés procurant souvent des faenas intenses grâce à leur caractère piquant et parfois complexe. |
Les Toros de l'Alcurrecén au campo
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Les toreros
Diego UrdialesNé le 31/05/1975 à Arnedo (Espagne)Début avec picadores : 21/03/1992 à Arnedo Alternative : Dax le 15/08/1999 Parrain : Paco Ojeda Témoin : Manuel Diaz « El Cordobes » Entré à l'âge de 11 ans à l'École Taurine d'Arnedo, élu meilleur novillero de sa promotion il lui faudra attendre une dizaine d'années après avoir revêtu son premier costume de lumières pour se voir consacré lors du « Zapato de Oro » de 1998 et prendre l'alternative l'année suivante dans les arènes de Dax. Des débuts remarqués mais le manque de contrats va vite semer le doute chez le torero et l'incompréhension des aficionados qui le soutiennent. Il lui faudra croiser en 2007 à Arnedo, « Molinito » toro de Victorino qu'il graciera, pour redonner un second souffle à sa carrière. Torero à la tauromachie mesurée, précise, authentique, d'où se dégage l'arôme du toreo d'antan, il est aujourd'hui parvenu à maturité. Lors des dernières temporadas, Bilbao l'a vu sortir en triomphe à trois reprises face à l'élévage... d'Alcurrucen et Madrid lui ouvrir enfin la Grande Porte à la Feria d'automne 2018. Qui mieux que lui pouvait ouvrir ce cartel pour aficionados ? Paco UreñaNé le 26/12/1982 à Lorca (Espagne)Début avec picadores : 27/04/2003 à Lorca Alternative : Lorca le 17/09/2006 Parrain : Javier Conde Témoin : Morante de la Puebla Gravement blessé le 14 septembre 2018 à la feria d'Albacete face à un toro d'Alcurrucen, il perd son œil gauche. On pense sa carrière définitivement terminée lorsqu'il annonce pendant la trêve hivernale et après miraculeuse récupération sa volonté de refouler le sable des ruedos. C'est donc avec une certaine compassion, mêlée de crainte, qu'on attend son retour en début de saison à Valencia. À la surprise générale, il rassure et séduit tout le monde lors d'une prestation qui ne laisse rien entrevoir de son handicap et met en évidence la personnalité de ce torero profond, classique et sans concession pour la galerie. Suit une temporada 2019 qui tutoie les sommets particulièrement à Madrid où il sort par la Grande Porte et Bilbao pour une tarde que l'on peut qualifier d'historique après avoir coupé 4 oreilles. Conséquence de ce parcours : le prestigieux trophée « Oreja de Oro », décerné par le programme Clarin de la RNE (Radio Nacional de Espana) au triomphateur de la temporada, lui est attribué. Emilio de JustoNé le 16/02/1983 à Torrejoncillo (Espagne)Début aves picadores : 20/04/2002 à Caceres Alternative : Caceres le 26/05/2007 Parrain : Alejandro Talavante Témoin : Cayetano Ordonez Emilio de Justo s'est révélé à l'aficion française et particulièrement celle du Sud-Ouest, grâce à ses deux seules corridas de la temporade 2016 à Orthez et lors de la course organisée par la pena La Muleta de Saint-Sever dans les arènes du Plumaçon face à un lot de Victorino Martin. Sa tauromachie classique et poderosa face à ce type de toros surprend et captive les aficionados. Dès lors, il est engagé la saison suivante dans la plupart des arènes françaises. En 2018, c'est l'Espagne qui lui ouvre enfin, après presque dix années de disette, la porte de férias importantes. Les triomphes se succèdent et entre autres, à Mont de Marsan où il coupe trois oreilles à un magnifique lot de La Quinta et à Madrid où il scelle sa saison par une Grande Porte des arènes de Las Ventas. Même si une fracture de la clavicule l'éloigne des ruedos pendant un mois, ce n'est pas moins de 33 corridas auxquelles il participe en 2019. Malgré une temporada 2020 quasi inexistante faute de Covid, il effectue 9 paseos pour se situer en 2 e position de l'escalafon. Il redémarre la saison actuelle sous les meilleurs hospices puisque fort de triomphes télévisés, il est déjà annoncé dans de nombreuses ferias de renom. |
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6 Toros de Adolfo MartinDans les années soixante, les frères Martin Andrés rachètent l'élevage Escudero Calvo, les fameux toros cardeños descendant du Marquis d'Albaserrada qui n'était pas moins que le frère du Conde de Santa Coloma. Depuis le partage du cheptel en 1990 avec Victorino père, Adolfo est devenu le ganadero le plus prisé des arènes de Madrid et de son public, le plus exigeant du monde taurin. Connu pour être un toro complet durant toute la lidia, le « petit gris » se remarque d'un seul coup d'œil avec ses armures développées et de corpulence athlétique, sa personnalité morphologique et caractérielle en font un des toros les plus admirés des aficionados. |
Les Toros d'Adolfo Martin au campo |
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Le torero
Encerrona d'Antonio FerreraNé le 19/02/1978 à Bunyola (Iles Baléares - Espagne)Début avec picadores : 05/02/1995 à Zaragoza Alternative: Olivenza le 02/03/1997 Parrain : Enrique Ponce Témoin : Pedrito de Portugal Après une carrière de novillero très prometteuse, son passage à l'étage supérieur n'obtiendra pas immédiatement les faveurs de la critique. On lui reproche son toreo électrique, de la générosité pas toujours maitrisée, mais force est de reconnaître que son engagement perpétuel face aux élevages les plus exigeants, sanctionné par de multiples cornadas, force le respect. Et puis, parvenu à maturité, son toreo va se transformer, impressionner et séduire l'aficionado. Sa carrière va s'enrichir de succès historiques : triomphateur de la San Isidro en 2013, de Séville l'année suivante après une faena majuscule face à un Victorino, puis Madrid à la Feria d'automne 2019, où toute la variété de son toreo, son sens de la lidia va faire rugir Las Ventas lors de l'encerrona le plus abouti depuis la « tarde de los quites » de Joselito le 3 mai 1996. Tout récemment c'est un autre encerrona à Badajoz qui le consacre comme torero unique, atypique, inclassable. Affronter, seul, 6 toros d' Adolfo Martin c'est l'extraordinaire défi qu'Antonio Ferrera a accepté de relever avec enthousiasme dans nos arènes du Plumaçon. Il est certainement un des rares toreros actuels à pouvoir maintenir un intérêt permanent dans un seul contre six. Nous sommes donc impatients d'assister à ce qui pourrait être l'écriture d'une belle page de l'histoire taurine de la ville de Mont de Marsan. |
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Ganaderia du Sud-ouest |
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6 Toros de Pedraza de YeltesC'est certainement la ganaderia la plus régulière de ces dix dernières temporadas en France. La preuve, les prix et trophées innombrables qu'ont récolté Luis et José Ignacio Uranga, romantiques ganaderos basque, résidant à San Sebastian plus exactement. Ils se lancent dans l'aventure en 2006 aidés par José Ignacio Sánchez ancien matador et aussi directeur de l'école taurine de Salamanca. Élevés en plein Campo Charro, ces toros sont issu de l'encaste Domecq mais plus précisément de celle Aldeanueva créée par le mythique "magicien" El Raboso. Celui-ci sut créer un toro très imposant de par son squelette, d'armures très développées et surtout un combattant très complet dans tous les tercios de la lidia. Une première pour notre prochaine feria ! |
Les
Toros de Pedraza de Yeltes au
campo
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Les toreros
Domingo Lopez ChavesNé le 01/08/1977 à Ledesma (Espagne)Début avec picadores : 05/03/1995 à Caceres Alternative : Salamanca le 15/09/1998 Parrain : Joselito Témoin : Enrique Ponce L'imposante corrida de Pedraza de Yeltes ne pouvait faire l'impasse d'un véritable chef de lidia. Avoir choisi Domingo Lopez Chaves est l'assurance du bon déroulement de ce type de spectacle. Considéré comme un des meilleurs lidiadors actuels, torero technique, dominateur et de bon goût, Domingo respecte le tercio de piques et sait mettre en valeur ses toros. La saison 2019 l'a vu se produire plusieurs fois à son avantage et lui permet d'espérer désormais d'être plus souvent sollicité dans les grandes ferias. Reconnaissance ô combien méritée. Il entamera cette année sa 23e temporada. Et même si durant sa carrière il a combattu les élevages les plus durs du monde taurin, c'est la première fois qu'il sera confronté aux toros de Pedraza. Alberto LamelasNé le 03/10/1984 à Cortijos Nuevos (Espagne)Début avec picadores : 26/06/2005 à Navas de San Juan Alternative : Valdemoro le 08/05/2009 Parrain : Javier Valverde Témoin : Eduardo Gallo C'est le retour du guerrier dont le courage et la générosité face à Estanquero un grand toro de Miura en juillet 2016 avait conquis le public du Plumaçon. Sa carrière dédiée aux corridas dures est parfois marquée par des prestations héroïques et aussi de graves blessures. Pour subvenir à ses besoins, il alterne sa passion de torero et le métier de chauffeur de taxi. L'aficion montoise apprécie et plébiscite ce torero depuis longtemps. Il ne pouvait que rentrer dans ce cartel. Gomez del PilarNé le 10/10/1988 à Madrid (Espagne)Début avec picadores : 01/03/2009 à Illescas (Espagne) Alternative : Anover de Tajo le 27/08/2013 Parrain : Juan José Padilla Témoin : Eugenio de Mora Après avoir été engagé dans toutes les ferias importantes en tant que novillero et avoir séduit le public de Las Ventas durant cette période, le passage au niveau supérieur va s'avérer plus difficile par manque de contrats. Il faudra patienter jusqu'en 2016 à Illescas où il indultera un toro de Victorino et suscitera de nouveau l'intérêt de quelques empresas dont celle des arènes de Madrid. Depuis 2017, il est reconnu comme un torero indispensable pour les corridas toristas de Madrid. La France permet également à cette catégorie de toreros de se révéler ou de ressurgir. Ce sera sa présentation à Mont de Marsan et peut être le début d'une belle histoire avec ce torero sérieux, talentueux, qui a déjà gagné dans le milieu taurin, le respect des professionnels. |
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